• ALORS BIEN ENTENDU QUAND J AI LU CE MESSAGE ECRIT EN MAJUSCULE DONC SIGNIFIANT QU ELLE BEUGLAIT DERRIERE SON ECRAN ET EN PLUS ENVOYER AUSSI EN SMS SUT MON TEL

    J AI TELEPHONNE IMMEDIATEMENT A LA MADAME ET CE MALGRES  QUE JE SOIS AU TRAVAIL ET PENDANT QUE JE LUI PARLAIT HOOOOOOOOO MIRACLE ELLE N ETAIT PAS BLOQUEE ET AVAIT ACCES A MON BLOG ...

    POURQUOI M ECRIRE CE GENRE DE CHOSES???????? PERSONNELLEMENT SI JE LUI AVAIT DONNER ACCES C EST PARCEQUE JE LE VOULAIS BIEN!!!

     

    on peut aller encore plus loin

     

    bien entendu SMS TELEPHONNE RECU LE 2 MARS 2022 A 15H48 POUR CELLE QUI ONT SON TEL 06/44 /../../03

    DE TOUTE FACON JE PENSE QUE JE VAIS FERMER CAR JE SAIS QUE MARYLIN C EST DE MOI DONT ELLE PARLE.....QUAND ELLE A EU DES HISTOIRES AVEC LOU551 J AI TOUJOURS ETE DE SON  COTE.....

    REPONSE DE MA PART LE 11 MARS A 18H17

    BONSOIR TERRANGA J ESPERE NE PAS TE DERANGER JE N AI PAS COMPRIS TES MP QUI AU FINAL NE ME CONCERNE PAS JE NE ME MELE PAS DES HISTOIRES D EKLA ET NE VEUT PAS EN ETRE MELEE ...

     

    ET J EN PASSE CAR LES MP D EKLA SONT DANS LA MEME ETTOFFE ALLANT JUSQU A ECRIRE QUE MARYLIN ETAIT DANS UNE MERDE DE LOGEMENT PARLER SUR LA MALADIE DU MARI ETC ETC 

     

    VOICI LE MP DU CACA NERVEUX

     

    Message de terranga design, reçu le 26/01/2022 à 09:28
    Sujet : [Pas de sujet]
    JE SENS QUE TU ES FACHEE CONTRE MOI CAR CE MATIN OH!!! SURPRISE JE NE PUIS ALLER SUR AUCUN DE TES BLOGS POURTANT JE SUIS CORRECTE JE TE REMERCIE JE TE METS DE GENTILS MOTS EN COMS ET JE T AI PRIS QUELQUES TUBES SUR LA TANIERE JE M EN SUIS SEERVIE MAIS JE NE LES POSTE PAS POUR LE MOMENT CAR J AI FERME MON BLOG IL EST EN PAUSE JE SUIS TELLEMENT EPUISEE QUE JE NE POURRAIS PAS REPONDRE AUX COMS JE NE VIENS VOIR QUE TES MESSAGES ET TES POSTS J AI PLEURE CE MATIN CAR JE NE T AI FAIT AUCUN MAL MOI J AI TOUJOURS ETE CORRECTE BISOUS MA DOUCE PRENDS SOIN DE TOI ET ESSAIE DE NE PAS ME METTRE DANS LE MEME PANIER QUE TOUTES CES FEMMES QUI NE SONT QUE DES PESTES ET DES VOLEUSES DE SURCROIT MOI J AI DES VALEURS

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    St. Patrick's Day

     

    No wise man ever wished to be younger.
                                                                    — Swift

     

              1
     
    Down the long library each marble bust
    shines unregarded through a shower of dust
    where a grim ghost paces for exercise
    in wet weather: nausea, gout, ‘some days
    I hardly think it worth my time to rise’.
    Not even the love of friends can quite appease
    the vertigo, sore ears and inner voices;
    deep-draughted rain clouds, a rock lost in space,
    yahoos triumphant in the marketplace,
    the isle is full of intolerable noises.
     
     
              2
     
    Go with the flow; no, going against the grain
    he sits in his rocking chair with a migraine,
    a light in the church all day till evensong,
    the sort of day in which a man might hang.
    No riding out to bubbling stream and weir,
    to the moist meadow and white belvedere;
    on tattling club and coffee house a pox,
    a confederacy of dunces and mohocks —
    scholars and saints be d-mn’d, slaves to a hard
    reign and our own miniature self-regard.
     
     
              3
     
    We emerge from hibernation to ghetto-blasters
    much better than our old Sony transistors,
    consensual media, permanent celebration,
    share options, electronic animation,
    wave motion of site-specific daffodils,
    closed-circuit video in the new hotels;
    for Niamh and Oisín have come to earth once more
    with blinding breastplate and tempestuous hair,
    new festive orthodoxy and ironic icon,
    their faces lit up like the Book of Kells.
     
     
              4
     
    Defrosting the goose-skin on Bridget’s daughters
    spring sunlight sparkles among parking meters,
    wizards on stilts, witches on circus bikes,
    jokers and jugglers, twitching plastic snakes,
    pop music of what happens, throbbing skies,
    star wars, designer genes, sword sorceries.
    We’ve no nostalgia for the patristic croziers,
    fridges and tumble-dryers of former years,
    rain-spattered cameras in O’Connell St.,
    the sound mikes buffeted by wind and sleet —
     
     
             5
     
    but this is your birthday and I want to recall
    a first-floor balcony under a shower of hail
    where our own rowdy crowd stood to review
    post-Christian gays cavorting up Fifth Avenue,
    wise-cracking dialogue as quick and dry
    as that in The Big Sleep or The Long Goodbye;
    for we too had our season in Tír na nÓg,
    a Sacred Heart girl and a Protestant rogue,
    chill sunshine warming us to the very bone,
    our whole existence one erogenous zone.
     
     
              6
     
    I could resign these structures and devices,
    these fancy flourishes and funny voices
    to a post-literate, audio-visual realm
    of uncial fluorescence, song and film,
    as curious symptoms of a weird transition
    before we opted to be slaves of fashion —
    for now, whatever the ancestral dream,
    we give ourselves to a vast corporate scheme
    where our true wit is devalued once again,
    our solitude known only to the rain.
     
     
              7
     
    The one reality is the perpetual flow,
    chaos of complex systems. Each generation
    does what it must; middle age and misanthropy,
    like famine and religion, make poor copy,
    and even the present vanishes like snow
    off a rope, frost off a ditch, ice in the sun —
    so back to the desktop and the drawing board,
    prismatic natural light, slow-moving cloud,
    the waves far-thundering in a life of their own,
    a young woman hitching a lift on a country road. 

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  • En plein cœur de la forêt, un arbre satisfait de lui-même étend ses branches empruntes de beaux discours. Le vent de la vie, amusé par tant de crédulité, décide d'éprouver cet être qui n'est que paraître. Il donne un souffle de vie nouveau et, en un rien de temps, un nouvel arbre fait apparition...

    - Bienvenue ! dit-il d'un air bienveillant, mais non sans arrogance. Je suis l'arbre au cœur de la forêt et je connais les environs mieux que toi, si tu suis mes conseils, tu deviendras aussi beau et fort que moi !

    Le nouvel arbre plein de naïveté lui demande :
    - Comment pourrais-je être aussi beau et fort que toi, toi qui a la force et la prestance d'un chêne !? Je ne suis qu'un simple sapin et je ne pourrai jamais atteindre ni ta grandeur ni ta force, et la dureté de mes épines ne rivalise pas avec la grâce de ton feuillage.

    Le chêne flatté répond fièrement :
    - Tu as raison pour ce qui est de l'apparence, tu ne pourras jamais être beau et fort comme moi, mais grâce à ma connaissance, tu pourras extraire de la terre tout ce dont tu as besoin pour nourrir ton être intérieur !

    Le sapin, intrigué rétorque :
    - Comment sais-tu ce qui est bon pour moi ? Tu n'es que chêne, et tu n'as goûté qu'à ce à quoi tu as été destiné. Peut-être ai-je besoin de nourriture différente car toi et moi sommes par nature différents.

    L'arbre au cœur de la forêt, irrité par l'insolence de cet autre et déstabilisé par tant de questions, sent ses racines pleines de convictions se tordre dans les tréfonds de son moi intérieur, l'écorce de confiance se met à craqueler, la douce sève qui le nourrit depuis toujours se transforme en amertume, les branches de fierté se recroquevillent ; et, peu à peu les feuilles de certitudes tombent une à une. Secoué, le grand arbre demande, emprunt de désespoir :

    - Qu'as-tu fais de moi ?!!??! J'étais le plus beau et le plus fort de la forêt, et voilà qu'à ton arrivée, ma beauté s'assombrit sous le joug de tes questions et que ma force est ébranlée sous l'effet de ta naïveté !

    Le sapin lui répond d'une voix douce, mais ferme :
    - Mes questions ne sont que le reflet de ta remise en question, et ma naïveté n'est que le voile de ta propre naïveté.

    Un vent glacial parcourt chaque racine du chêne, traverse le tronc plein de conviction, se répand dans les branches de fierté pour secouer les feuilles de certitude ; et peu à peu il est gagné par l'aridité du doute et l'hiver de la solitude. L'écorce de son cœur se met à gémir :

    - J'étais enraciné dans mes convictions et je me croyais à peu près accompli, désormais je suis enchaîné au doute et j'ai perdu tout mon éclat !!! Que puis-je faire pour paraître de nouveau le meilleur ?

    Le nouvel arbre lui répond calmement :
    - La solution gît à tes pieds, cherche, creuse, au plus profond de tes entrailles et soit conscient de chaque partie d'elles, de la meilleure comme de la pire. Arrête-toi sur tes mauvaises racines et travaille dessus avec patience et persévérance. Pour cela, arme-toi de courage...

    - Très bien, très bien !! Je ne ferai que cela !! l'interrompt le chêne enchainé par la peur, je lutterai jusqu'à ce que les mauvaises graines que j'ai en moi se transforment en graines plus fécondes, et...

    - Ah, mais je n'ai pas fini, reprend le sapin, prends garde à toi !! Car tes bonnes graines peuvent renfermer plus de mal que les mauvaises ! Oui, l'arrogance de tes qualités peut ensevelir le pire des maux, à savoir la suffisance. L'éclat de tes propres qualités peut t'aveugler à toi même, car comment laisser place à l'Autre lorsque tu te complais dans ta vertu ? En cela, arme-toi doublement de courage pour défricher le mal qui gît dans ton bien.

    Le chêne, en plein désarroi se morfond :
    - Tu me demandes de détruire mes mauvaises graines et de combattre également les bonnes que je porte en moi, mais que me reste-t-il alors ? Je ne sais qui tu es, je ne sais plus qui je suis... je suis prêt à t'accepter dans mon univers tel que tu es, mais tu dois m'aider à trouver qui je suis ! Je n'ai plus rien, plus rien sinon le doute, la peur et la souffrance ! Aide-moi...

    Le sapin, touché par la sincérité et l'humilité de son voisin, lui dit d'une voix rassurante :
    - Tu n'as plus rien pour mieux tout avoir ! Si tu veux vivre pleinement, c'est à dire en partage avec l'Autre, en partage avec moi, et surtout en véritable paix avec toi, tu dois tout déconstruire afin, non pas tant de paraître le plus beau, mais d'être le plus juste.

    Le chêne avoue :
    - Je réalise que j'ai toujours eu un vide, je vivais par moi, mais sans paix intérieure. Je tentais de paraître pour mieux cacher mon non-être. A présent, j'accepte ! Je t'accepte, tel que tu es, même si c'est au prix de doutes, de peurs, de souffrances... Étrangement, cette bataille intérieure me fait entrevoir les lueurs d'une paix véritable, avec toi, avec moi, avec les autres. L'égo de mon moi intérieur m'a longtemps voilé la richesse de l'Autre. Je souhaite alors poursuivre ce dialogue avec mon égo afin qu'on signe un pacte de paix, pour mieux accueillir des étrangers sur ma terre, pour qu'on la partage et qu'on la fructifie ensemble... et peut-être, un beau jour, d'autres arbres, de nouveaux fruits apparaîtront, et avec cette diversité, la forêt de la vie sera une perpétuelle source d'apprentissage et donc de richesse...

    Le sapin conclut :
    - Mon arrivée t'a déstabilisé, car j'ai détruit les forteresses de certitudes que tu as bâties par peur de l'Autre. Maintenant que tu as déposé les armes pour partir en bataille contre ton égo, et que tu as décidé de faire pleinement face au présent de la diversité, avec ses souffrances et ses leçons, ses incertitudes et ses dons, tu peux enfin aspirer à une paix véritable. Lorsque je suis arrivé, tu me voulais comme toi, mais tu n'as jamais été aussi loin de moi et encore plus de toi; maintenant que tu as accepté mon altérité, tu es désormais une partie de moi et je deviens une partie de toi.

     

    Morale de la fable :

    - L'Autre, avec sa diversité, nous renvoie à notre propre miroir intérieur altéré par la rouille de l'égo. Si on travaille à polir de l'intérieur nos propres défauts , et non sur les différences que l'on voit chez l'Autre, alors, peu à peu, le voile de l'ignorance se lèvera pour laisser place à l'Autre en tant que reflet de soi, et à soi, en tant que reflet de l'Autre. Changer soi même pour que le monde change*, changer soi-même pour mieux trouver l'Autre.


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    Un jeune ange tenait un jour une conversation avec le gardien des cieux. Il lui dit : "J'aimerais savoir comment est le paradis et comment est l'enfer ?"...

    Le jeune ange fut conduit vers deux portes. Le gardien des cieux ouvrit l'une d'entre elles et permit ainsi à l'ange de regarder à l'intérieur. Au milieu de la pièce, il y avait une immense table ronde. Et, au milieu de la table, il y avait une grosse marmite contenant un ragoût à l'arôme délicieux...

    Le jeune ange saliva d'envie. Les personnes assises autour de la table étaient maigres et livides. Elles avaient, toutes, l'air affamé. Elles tenaient des cuillères aux très longs manches, attachées à leurs bras. Toutes pouvaient atteindre le plat de ragoût et remplir une cuillerée. Mais, comme le manche de la cuillère était plus long que leurs  bras, elles ne pouvaient ramener les cuillères à leur bouche.

    Le jeune ange frissonna à la vue de leur misère et de leurs souffrances.
    "Alors, c'est cela, l'enfer ?" se demanda-t-il.
    Tous deux se dirigèrent alors vers la seconde porte.
    La porte s'ouvrit, et, surprise, la scène était identique à la précédente. Il y avait la grande table ronde, la marmite de délicieux ragoût, qui fit encore saliver le jeune ange. Les personnes autour de la table étaient également équipées de cuillères aux longs manches. Mais, cette fois, les gens étaient bien nourris, replets, souriants et se parlaient en riant.

    Le jeune ange s'exclame : "Je ne comprends pas !"
    "Eh bien, c'est simple" fut la réponse. "C'est juste une question d'habileté. Ils ont appris à se nourrir les uns les autres, tandis que les gloutons et les égoïstes ne pensent qu'à eux-mêmes."


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    Persistez, dis-je, à cueillir les fleurs de l'amour
    comme les boutons des roses blanches

    d'un jardin de septembre

    .Persistez, dis-je, à aimer les feuilles d'olivier
    comme l'espoir sur de tendres branches
    dans les champs couleur d'ambre.

     

    Persistez, dis-je, à semer les graines de paix
    contre toute violence comme les étoiles qui dansent
    dans le gris de nuit.


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